vendredi 4 avril 2014

Bon ben ça devait arriver (2)

ma carte VISA a été copiée quelque part, sans doute en Argentine, et des débits ont été faits à l'insu de mon plein gré.
C'est tout une histoire pour s'en remettre. Opposition immédiate sur la carte, donc démerda-toi sans. Puis demande par courrier recommandé d'une nouvelle carte (il faut des copains dignes de confiance pour récupérer ce courrier dans ma boîte de Périgueux, puis me l'apporter en main propres -c'est une expression- à l'aéroport de Buenos Aires, vous en avez beaucoup, vous, des chums capables de faire ça ?), et demande de remboursement des sommes perdues. C'est possible, mais il faut un dépôt de plainte en bonne et due forme. Ça tombe bien, je ne savais pas quoi faire, cet après midi.
Dans tous les cas, ce qui sauve les meubles, c'est l'argent liquide qu'on a prévu au départ en cas de coup dur, justement...
Aussi, je suis revenu "à la maison", chez Emmanuelle, que j'ai croisée ce matin, après ma nuit de bus. No dormì mucho...
Emmanuelle partait travailler à la fac.
Je suis revenu en été. Fini l'automne de Pucon...




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