lundi 14 avril 2014

Buenos Aires

Après une transversale traversée du continent qui me coûta, sans effort, car j'adore ça, 23 heures de bus dont une grande partie peuplée d'insomnie, mais c'est comme ça, j'aime bien vérifier que la nuit ne passe pas trop vite, j'arrivis à les bons airs, dont le quai des bus à l'estacion routière me paraissa démesuré, quant au métro qui m'engoufrit avec mon sac et tout, je l'estimai un peu pas trop propre et bondé comme une vache, si tant est qu'une vache puisse l'être, mais c'est possible aux heures de pointe, notion souvent étrangère à la vache de base, mais qui tient au horaires des bus, bien que c'est pas moi qui les fixe, et quand bien même, si cela fut, j'auraia rien changé, vu que ça me convenait, par contre, ce que j'ai changé ensuite, c'est de logeur, l'hostel premier ayant décliné de plénitude, je me rabattis sur le second, qui s'avéra être plus miteux que supportable, ce qui m'orienta sans boussole, car Buenos Aires est une ville construite sur un plan orthogonal, comme beaucoup de bourgades du sud des Amériques et on s`y repère en comptant les cuadras, qui sont des côtés de pâtés, même si on a passé la limite d'âge ce qui est mon cas, vers une troisième adresse, diteTerranova, rue Humbert 1er, hostel conseillé par Maria que j'eus l'heur bref de croiser avant qu'elle ne fila à son festival de beatniks, où ils étaient 170 000, c'est les journaux qui l'ont dit c'est pas moi qu'a compté, ce qui fut au final une idée moyenne car comme entretemps, mon copain Olivier était arrivé, on n'a pas bien pu dormir à cause des types qui pioncent dans la journée, après ils savent plus quoi faire la nuit, alors, ils empêchent les autres de dormir, faut dire on est dans un hostel a dit Edgardo, qui a l'air de s'en foutre, avec son vélo plié dans un carton pour sa soeur, et sinon la ville on aime bien mais sans plus.






















































































L'Ateneo, librairie installée dans un ancien théâtre à l'italienne.





















Plaque mémorielle sur un trottoir en souvenir d'une personne ayant vécu dans cet immeuble. victime du "terrorisme d'état"
























Le tombeau d'Eva Peron



















Sur la place de mai...

 

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