que j'ai bien appréciés. J'ai essayé d'expliquer pourquoi à Mathias, hier soir (bonnes retrouvailles après les moments passés à Valdivia ensemble), en lui disant que j'ai toujours eu affaire à des gens simples dans le bon sens du terme, pas sophistiqués, jamais moqueurs (j'ai l'impression que le sarcasme n'est pas chilien). Je trouve les gens équilibrés ici, ils ne se posent pas de questions inutiles. Ils ont pour la plupart à se débrouiller avec une situation sociale et économique compliquée (salaires bas en moyenne, pas de protection sociale pour tous, services publics payants - y-compris l'éducation) et c'est un peu le royaume de la débrouille. Beaucoup font des petits métiers, quelquefois improvisés (gardiens de parkings, petits commerces, revente de plein de choses variées dans la rue, dans les bus...) Mais on ne sent pas une société en crise. A la différence de notre pays, ils ont une grande confiance dans l'avenir. Tout le monde est persuadé que les choses ne peuvent que s'améliorer dans les années à venir...
Mathias et Cindy, de Santiago.
Concepcion, de Punta Arenas, à la gare des bus de Bariloche
Au cabaret "La casa en el aire", où nous étions hier soir (Quartier Barrio Bellavista)
Merci Mathias !
Et enfin, mes amis et hôtes de Santiago, Vicente et Emmanuelle, que je ne saurais trop remercier...
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